Dites, l’Essentiel, ne l’oubliez pas!...
Amener nos adolescents à donner du sens à leur vie, à prendre conscience de ce qu’ils sont et de ce qu’ils font… s’arrêter de temps en temps pour leur donner des repères… Au-delà de l’esbroufe de la vie d’aujourd’hui et des apparences de façade, rechercher l’intériorité, oui, l’intériorité! En quelques mots si vite dits, au beau milieu d’une soirée festive, de pleine détente, le cœur même du projet pédagogique propre à l’enseignement libre catholique était redonné.
Et c’est à Guy Halin, ancien directeur, qu’il appartenait de le rappeler, avant de s’en aller -pour de bon cette fois- à l’âge de 76 ans!
Comme à la fin de tous les albums d’Astérix le Gaulois, les professeurs de Saint-Roch ont clôturé l’année scolaire autour d’une bonne table et de manière très gauloise…
Et c’est à Guy Halin, ancien directeur, qu’il appartenait de le rappeler, avant de s’en aller -pour de bon cette fois- à l’âge de 76 ans!
Comme à la fin de tous les albums d’Astérix le Gaulois, les professeurs de Saint-Roch ont clôturé l’année scolaire autour d’une bonne table et de manière très gauloise…
Mais avant de s’éclater un peu, la soirée festive commence traditionnellement par une séance sympathico-académique au cours de laquelle on met à l’honneur des collègues qui tournent une page de vie. Ce 26 juin, il s’agissait de Myriam Simon-Dzwoniarkiewicz (mathématique), de Philippe Poncin (français et espagnol), de Jean-Marie Deroanne (latin et grec) et de Guy Halin… un cas assez particulier!
Myriam, au nombre des premiers professeurs féminins du collège, a toujours été appréciée pour son dynamisme, sa spontanéité, sa force intérieure qui l’a aidée à faire face aux épisodes douloureux de la vie. Lors de son départ, fin décembre, Philippe Poncin, grande figure du combat syndical, orateur de talent, hispanophile, avait déjà été fêté de belle manière… Mais le plat de résistance devait lui être servi en chanson par un Bernard Marchal très en voix, sur une mélodie connue de Georges Brassens. Un moment de vie délicieux! Jean-Marie Deroanne, intarissable chantre de la culture antique, est officiellement retraité, mais ne nous quitte pas tout à fait…
Guy Halin insiste sur le besoin d’intériorité
Et Guy Halin, ancien professeur puis directeur, arrivé en 1960, retraité depuis 1991, résidant jusqu’à ce jour à Saint-Roch même, est sans nul doute devenu le plus ancien des locataires de Bernardfagne. A l’âge de la retraite, il y a 17 ans, son activité et son influence sur le devenir du site où il a définitivement élu domicile ont été loin de s’éteindre. C’est lui en effet qui est à l’origine de l’accueil en nos murs du «CERAN-Jeunes», un organisme privé d’apprentissage accéléré des langues qui, chaque été, loue la totalité de nos bâtiments pour initier à la langue française des jeunes venus du monde entier.
Guy Halin, épaulé au début par son épouse, Madeleine, a assuré pendant 16 ans l’accueil du CERAN-Jeunes avant de céder le relais à Philippe Close. Il se retire désormais définitivement et c’est pourquoi Saint-Roch, à l’occasion de son repas de fin d’année, a voulu le mettre à l’honneur.
Guy, lui, a saisi cette ultime occasion pour lancer, avec la manière qu’on lui connaît, le message que vous venez de lire en début d’article et que nous ne pouvons que vous réinviter à lire encore. C’est bien là la force de l’actuel plus ancien résidant de Saint-Roch: aller à l’Essentiel sans détour!
Myriam, au nombre des premiers professeurs féminins du collège, a toujours été appréciée pour son dynamisme, sa spontanéité, sa force intérieure qui l’a aidée à faire face aux épisodes douloureux de la vie. Lors de son départ, fin décembre, Philippe Poncin, grande figure du combat syndical, orateur de talent, hispanophile, avait déjà été fêté de belle manière… Mais le plat de résistance devait lui être servi en chanson par un Bernard Marchal très en voix, sur une mélodie connue de Georges Brassens. Un moment de vie délicieux! Jean-Marie Deroanne, intarissable chantre de la culture antique, est officiellement retraité, mais ne nous quitte pas tout à fait…
Guy Halin insiste sur le besoin d’intériorité
Et Guy Halin, ancien professeur puis directeur, arrivé en 1960, retraité depuis 1991, résidant jusqu’à ce jour à Saint-Roch même, est sans nul doute devenu le plus ancien des locataires de Bernardfagne. A l’âge de la retraite, il y a 17 ans, son activité et son influence sur le devenir du site où il a définitivement élu domicile ont été loin de s’éteindre. C’est lui en effet qui est à l’origine de l’accueil en nos murs du «CERAN-Jeunes», un organisme privé d’apprentissage accéléré des langues qui, chaque été, loue la totalité de nos bâtiments pour initier à la langue française des jeunes venus du monde entier.
Guy Halin, épaulé au début par son épouse, Madeleine, a assuré pendant 16 ans l’accueil du CERAN-Jeunes avant de céder le relais à Philippe Close. Il se retire désormais définitivement et c’est pourquoi Saint-Roch, à l’occasion de son repas de fin d’année, a voulu le mettre à l’honneur.
Guy, lui, a saisi cette ultime occasion pour lancer, avec la manière qu’on lui connaît, le message que vous venez de lire en début d’article et que nous ne pouvons que vous réinviter à lire encore. C’est bien là la force de l’actuel plus ancien résidant de Saint-Roch: aller à l’Essentiel sans détour!
Par Philco