L’abbé Defossez est décédé ce 28 novembre
L’abbé Albert Defossez, qui a enseigné à Saint-Roch entre 1961 et 1989, est décédé à Liège ce mercredi 28 novembre, à l’âge de 75 ans, au terme d’une longue maladie. Les funérailles ont été célébrées ce samedi 1 décembre à 10 h en la grande chapelle des «Filles de la Croix» à Liège. Né à Spa le 18 juin 1932, Albert Defossez a poursuivi son cycle d’Humanités à l’Athénée de Spa avant d’entrer au Grand Séminaire de Liège où il a été ordonné le 22 décembre 1956. Il a d’abord enseigné à l’école normale Saint-Roch de Theux, puis est parti pour Saint-Trond avant de revenir en septembre 1961, pour l’essentiel de sa vie professionnelle, au collège Saint-Roch où il a séjourné 28 ans.
Il est au nombre des quelques derniers prêtres qui ont vécu pleinement à Saint-Roch, . . .
, en y ayant élu domicile et en s’y donnant, on peut le dire, corps et âme. Il restera dans la mémoire de nombreux anciens le titulaire des petits de 6ème latine auxquels il donnait les cours de latin, français et religion. Comme le dit son ami de longue date, l’abbé Georges Jehenson, ancien directeur, l’abbé Defossez s’engageait bien au-delà de sa stricte mission professorale et il était surtout l’éducateur des intelligences et des cœurs. Son souci s’est toujours porté vers les plus faibles, en particulier les malades qui vivaient isolés, avant de se retrouver lui-même dans cette situation, contraint de quitter l’enseignement en raison d’une santé fragile.
Depuis quelques années, il était accueilli dans la communauté des «Filles de la Croix», en Hors-Château, menant une vie de prière inspirée de la spiritualité de saint Benoît et s’accommodant comme il le pouvait d’une santé toujours plus déficiente.
C’est là que, le 22 décembre 2006, plusieurs professeurs anciens et actuels de Saint-Roch l’avaient rejoint pour célébrer son jubilé sacerdotal.
Il laissera à Saint-Roch le souvenir d’une personnalité forte, attachante et chaleureuse. Nous voulons croire qu’il continue, là où il est, de prier pour nous.
Depuis quelques années, il était accueilli dans la communauté des «Filles de la Croix», en Hors-Château, menant une vie de prière inspirée de la spiritualité de saint Benoît et s’accommodant comme il le pouvait d’une santé toujours plus déficiente.
C’est là que, le 22 décembre 2006, plusieurs professeurs anciens et actuels de Saint-Roch l’avaient rejoint pour célébrer son jubilé sacerdotal.
Il laissera à Saint-Roch le souvenir d’une personnalité forte, attachante et chaleureuse. Nous voulons croire qu’il continue, là où il est, de prier pour nous.
Par Philco