Le Comité des anciens : trop ancien pour en parler ?
La question semble pour le moins provocante ! Composé essentiellement d’anciens professeurs, le comité veille à rester soudé en se réunissant plusieurs fois l’an. C’est lui qui veille à ce que le collège maintienne un lien avec ses anciens élèves. Il témoigne d’un attachement qui reste fort et il se concrétise par des actions de soutien bien réelles : aides diverses et surtout un fonds social dont bénéficient chaque année plusieurs familles.
Et cela, ce n’est pas de l’histoire ancienne, c’est une action permanente d’aujourd’hui! Dans le maillage relationnel de toutes les composantes qui donnent vie à Saint-Roch, le rôle du comité des anciens reste essentiel…
Et cela, ce n’est pas de l’histoire ancienne, c’est une action permanente d’aujourd’hui! Dans le maillage relationnel de toutes les composantes qui donnent vie à Saint-Roch, le rôle du comité des anciens reste essentiel…
Notre escapade annuelle
Depuis quelques années, nous avons pris l’habitude de nous rencontrer pour une excursion. Après Maastricht et Orval, nous nous étions fixé comme but cette année un retour aux temps difficiles de la Bataille des Ardennes. Les circonstances de dernière minute ont voulu que cela ne fut pas possible, plusieurs d’entre nous étaient dans l’impossibilité d’être présents, dont notre guide l’ abbé G. Jehenson, que nous nous faisions une joie d’entendre dans ses commentaires fort compétents sur ces événements. La rencontre n’en a pas été moins chaleureuse. Rendez-vous était pris à 18 heures à l’ Horécalienne à Lierneux. Un lieu à découvrir. José Michel, le mari d’Anne-Lise Leloup, professeur de français et de religion, y règne en maître. Maître queux s’entend. A eux deux ils nous ont concocté un repas et une soirée fort agréables. Apéritif offert « par la maison », repas digne de ce chef qui a obtenu plusieurs coupes de cristal dans les concours Horéca ; c’est vous dire que nos papilles (et pas elles seulement… !) étaient à la fête. Les images diront mieux le bonheur que nous avons eu à nous retrouver.
Depuis quelques années, nous avons pris l’habitude de nous rencontrer pour une excursion. Après Maastricht et Orval, nous nous étions fixé comme but cette année un retour aux temps difficiles de la Bataille des Ardennes. Les circonstances de dernière minute ont voulu que cela ne fut pas possible, plusieurs d’entre nous étaient dans l’impossibilité d’être présents, dont notre guide l’ abbé G. Jehenson, que nous nous faisions une joie d’entendre dans ses commentaires fort compétents sur ces événements. La rencontre n’en a pas été moins chaleureuse. Rendez-vous était pris à 18 heures à l’ Horécalienne à Lierneux. Un lieu à découvrir. José Michel, le mari d’Anne-Lise Leloup, professeur de français et de religion, y règne en maître. Maître queux s’entend. A eux deux ils nous ont concocté un repas et une soirée fort agréables. Apéritif offert « par la maison », repas digne de ce chef qui a obtenu plusieurs coupes de cristal dans les concours Horéca ; c’est vous dire que nos papilles (et pas elles seulement… !) étaient à la fête. Les images diront mieux le bonheur que nous avons eu à nous retrouver.
Par Eloi Magnette (intro. par Philco)