Le jour de la pomme...pour la planète
C’est ce lundi 3 décembre qu’a débuté –en même temps que la conférence de l’ONU à Bali– la campagne «Effet de jeunes contre effet de serre». Il s'agit d'actions de sensibilisation menées auprès des jeunes en Région wallonne.Dans notre collège, comme dans 48 autres établissements scolaires, nous avons choisi de participer à cette campagne en faveur du climat. C’est ainsi que, ce lundi, tous nos étudiants ont été invités à croquer une pomme issue de la production locale. Un geste symbolique.
Notre photo:les pommes croquées ont incité notre photographe à cliquer quelques beaux portraits
Une simple pomme... C’est peut-être un détail pour nous, mais en réalité cela veut dire beaucoup. Selon un exemple donné par l’ASBL «Green», qui coordonne cette campagne, le fait de manger une pomme belge en lieu et place d’un fruit importé d’Espagne (qui a parcouru jusqu’à 2.000 kilomètres en camion) équivaut à une économie de CO2 d’environ 36 grammes. Reporté à l’ensemble de la population wallonne de 5 à 19 ans (soit 635.000 personnes), ce calcul nous amène à un gain de 23 tonnes de CO2. Tout cela grâce à une collation «locale» au détriment d’une collation «importée». Un geste appréciable pour le respect de notre planète.
Dans la vie de tous les jours, par les choix de consommation que nous posons, nous avons donc une influence plus ou moins grande sur l’évolution de notre climat. Manger «local», manger «de saison», c’est donc agir en faveur de l’environnement.
A Saint-Roch comme ailleurs, cette première action est aussi l’occasion de mener une réflexion sur le transport des aliments et l’énergie grise cachée derrière les biens de consommation. Gageons que cette réflexion mènera nos jeunes à prendre conscience de la situation problématique qui nous occupe, et qui nous concerne un peu plus chaque jour.
Dans la vie de tous les jours, par les choix de consommation que nous posons, nous avons donc une influence plus ou moins grande sur l’évolution de notre climat. Manger «local», manger «de saison», c’est donc agir en faveur de l’environnement.
A Saint-Roch comme ailleurs, cette première action est aussi l’occasion de mener une réflexion sur le transport des aliments et l’énergie grise cachée derrière les biens de consommation. Gageons que cette réflexion mènera nos jeunes à prendre conscience de la situation problématique qui nous occupe, et qui nous concerne un peu plus chaque jour.