Les 1F «ont mis le feu» à Chevrouheid!
Chevrouheid, c’est un minuscule village du côté de Francorchamps. Un décor de carte postale: un magnifique paysage nimbé de brume, des vaches, un vieux tracteur dans un champ, des oiseaux qui gazouillent, les premières odeurs de foin fraîchement coupé, deux, trois vieilles maison de ci-de là… Vous visualisez?
Quel calme, quelle quiétude, quelle séréniBOUM tagada tsoin-tsoin PAN YOUPIE POUET POUET. Au secours! Que se passe-t-il (ces 11,12 et 13 mai) ? Les 1 F investissent la carte postale. Fini le sépia et les gazouillis...
(notre photo: ces petits diables de 1F)
Place aux cris (spécialité de la classe), aux chants, aux ballons, aux courses et aux batailles d’eau. Rien ne les fatigue : la longue balade entrecoupée d’activités du vendredi soir n’aura raison de leur fureur de vivre qu’une courte nuit; «la tête et les jambes» dès potron-minet réveille les énergies et le jeu de l’oie géant finit de les requinquer. Deux ou trois jardins japonais plus tard, ils sont toujours en forme. Les corvées peut-être ? Rien n’y fait : ils crient toujours. Vite, une soirée karaoke puis un cours de flamenco, puis une re-courte nuit puis une chasse au trésor, puis un jeu de piste et un nettoyage en règle.
Dimanche 16 heures, ils chantent encore et s’arrosent avec tout ce qui peut contenir de l’eau: ballons, bols, seaux, citernes, que sais-je ? Ils ne se reposent donc jamais ?
Alléluia, les parents arrivent. Tout le monde embarque. OUF! Quel tourbillon! Mais aussi quelle bonne humeur et que de bons moments. C’était vraiment chouette.
Dimanche 16 heures, ils chantent encore et s’arrosent avec tout ce qui peut contenir de l’eau: ballons, bols, seaux, citernes, que sais-je ? Ils ne se reposent donc jamais ?
Alléluia, les parents arrivent. Tout le monde embarque. OUF! Quel tourbillon! Mais aussi quelle bonne humeur et que de bons moments. C’était vraiment chouette.
Par Louis Sevrin