Les 2ème dans les eaux ou sur les rochers de Comblain
Nos élèves de 2ème, en cette période «hors-les-murs», n'ont pas dû s'en aller bien loin pour faire des découvertes qui ne manquent pas d'intérêt. Il est vrai que notre région proche regorge de richesses environnementales et la commune de Comblain-au-Pont, en particulier, a su organiser un programme de découvertes naturelles particulièrement attrayant, en axant principalement ses activités vers les anciennes carrières de Géromont et sur les bords de l'Ourthe.
Là, les élèves sont pris en charge par une équipe dynamique que dirige aujourd'hui Julien Goijen (rhéto 98), éco-conseiller.
(notre photo: à la recherche de macro-invertébrés...)
Entres autres activités, il s'agissait d' évaluer l'état de pollution de l'Ourthe par l'examen des «petites bêtes» qui la peuplent. En termes plus savants, on parlera d'un examen par le principe de l'indice biotique.
Sous la conduite de moniteurs du Centre d'Initiation et de Formation à l'Environnement de Comblain, les élèves, dûment bottés et munis d'épuisettes et de pinceaux, sont descendus dans la rivière à la recherche de macro-invertébrés (visibles à l'oeil nu et faciles à prélever). Ces animaux répertoriés et classés dans différents bacs reçoivent alors des cotes qui reflètent leur affinité avec la pollution organique.
Lorsque les jeunes élèves parviennent à dépasser la dimension ludique de l'activité dans l'eau, ils peuvent alors accéder à l'exercice grandeur nature d'une vraie démarche scientifique. Et ce fut, on peut l'espérer, une vraie découverte pour bon nombre d'entre eux ce 4 mai à Comblain.
Sous la conduite de moniteurs du Centre d'Initiation et de Formation à l'Environnement de Comblain, les élèves, dûment bottés et munis d'épuisettes et de pinceaux, sont descendus dans la rivière à la recherche de macro-invertébrés (visibles à l'oeil nu et faciles à prélever). Ces animaux répertoriés et classés dans différents bacs reçoivent alors des cotes qui reflètent leur affinité avec la pollution organique.
Lorsque les jeunes élèves parviennent à dépasser la dimension ludique de l'activité dans l'eau, ils peuvent alors accéder à l'exercice grandeur nature d'une vraie démarche scientifique. Et ce fut, on peut l'espérer, une vraie découverte pour bon nombre d'entre eux ce 4 mai à Comblain.
Par Philco