Marcher pour se (re)trouver

Mais qu’est-ce qui pousse l’un(e) et l’autre à se lancer dans ce qui s’apparente à un défi ? Volonté de se dépasser, exploit sportif, initiation à un « sport » méconnu, retour aux sources, vécu solidaire dans un effort mené en groupe? Un peu de tout cela, sans doute.
Il est vrai que c’est n’est pas une mince affaire pour certains: ces trois jours de marche obligent à se dépasser, à se surpasser même. Notre beau pays aux paysages grandioses, mais aussi aux pentes abruptes n’a pas épargné les organismes: pieds endoloris, dos meurtris, musculature «en compote» …
Mais que de satisfactions! La solidarité, le partage d’émotions, la découverte d’endroits «magiques» au détour d’un chemin: l’église de Xhignesse, perle romane; la «croix du curé», laissé pour mort en bordure de forêt; la soupe à Heyd où M. Poncin nous accueille; la fuite de chevreuils à notre vue; le camp des hussards, sur les hauteurs de My; le site de Saint-Rahî raconté par A. Baijot, un ancien de Saint-Roch et tant d’autres surprises …
Le «pélémarche», c’est aussi un moment rare, propice à la réflexion, l’intériorité, la spiritualité. Au cœur de la nature, coupé de la «normalité», chacun a le loisir de ressourcer, de découvrir ses limites, l’autre, les autres, de perdre ses repères… et qui sait de s’en fixer des nouveaux.
Au terme, à chacun de s’en retourner, plus riche d’expérience(s)… avec ses secrets aussi!
Il est vrai que c’est n’est pas une mince affaire pour certains: ces trois jours de marche obligent à se dépasser, à se surpasser même. Notre beau pays aux paysages grandioses, mais aussi aux pentes abruptes n’a pas épargné les organismes: pieds endoloris, dos meurtris, musculature «en compote» …
Mais que de satisfactions! La solidarité, le partage d’émotions, la découverte d’endroits «magiques» au détour d’un chemin: l’église de Xhignesse, perle romane; la «croix du curé», laissé pour mort en bordure de forêt; la soupe à Heyd où M. Poncin nous accueille; la fuite de chevreuils à notre vue; le camp des hussards, sur les hauteurs de My; le site de Saint-Rahî raconté par A. Baijot, un ancien de Saint-Roch et tant d’autres surprises …
Le «pélémarche», c’est aussi un moment rare, propice à la réflexion, l’intériorité, la spiritualité. Au cœur de la nature, coupé de la «normalité», chacun a le loisir de ressourcer, de découvrir ses limites, l’autre, les autres, de perdre ses repères… et qui sait de s’en fixer des nouveaux.
Au terme, à chacun de s’en retourner, plus riche d’expérience(s)… avec ses secrets aussi!
Par J.G.