Paris tel que l'a vu Corentin...
On a beau avoir été prévenu que ce serait autre chose que Durbuy, vu du haut de l'arc de triomphe Paris qui étend à vos pieds ses larges et longues avenues, ça ne manque pas d'impressionner le Saint Rochi fraîchement sorti de ses Ardennes!
Mais tout au long de ce séjour, les occasions pour nous d'être impressionnés ou émerveillés n'ont cessé de foisonner. Que ce soit par la grandeur ou la beauté présentes toutes les deux dans les espaces verts, les quartiers anciens, la Cathédrale Notre-Dame et autres galeries Lafayette (avis aux amateurs: n'oubliez pas votre portefeuille!) ou par la bonne ambiance qui a régné tout au long du voyage.
Mais tout au long de ce séjour, les occasions pour nous d'être impressionnés ou émerveillés n'ont cessé de foisonner. Que ce soit par la grandeur ou la beauté présentes toutes les deux dans les espaces verts, les quartiers anciens, la Cathédrale Notre-Dame et autres galeries Lafayette (avis aux amateurs: n'oubliez pas votre portefeuille!) ou par la bonne ambiance qui a régné tout au long du voyage.
La nuit tombée, en naviguant sur la Seine à bord des célèbres bateaux-mouches, on a mieux compris pourquoi ils appellent ça la ville lumière et peut-être aussi pourquoi elle a inspiré tant de poètes.
Ce voyage était sans doute aussi une occasion pour nous de découvrir comment cohabitent dans cette immense métropole hommes d'affaire en costume, artistes des rues vivant de leurs talents, vendeurs d'un peu tout et n'importe quoi et miséreux qui n'ont plus comme seul espoir que la pitié des badauds.
En somme, ce fut un voyage fort agréable et également instructif avec des professeurs au meilleur de leur forme et les quelques petits imprévus sans lesquels ça n'aurait pas été un vrai voyage.
Pour les spécialités gastronomiques, on repassera une autre fois. Après tout, il faut bien se donner des raisons d'y retourner!
Ce voyage était sans doute aussi une occasion pour nous de découvrir comment cohabitent dans cette immense métropole hommes d'affaire en costume, artistes des rues vivant de leurs talents, vendeurs d'un peu tout et n'importe quoi et miséreux qui n'ont plus comme seul espoir que la pitié des badauds.
En somme, ce fut un voyage fort agréable et également instructif avec des professeurs au meilleur de leur forme et les quelques petits imprévus sans lesquels ça n'aurait pas été un vrai voyage.
Pour les spécialités gastronomiques, on repassera une autre fois. Après tout, il faut bien se donner des raisons d'y retourner!
Par Corentin Pirson (4B)